miércoles, 2 de marzo de 2016

Définiton de theatre





Nom qui vient du grec theatron qui passe ensuite en latin theatrum
Ce mot signifie "théâtre, lieu de représentation " et vient du verbe grec theaomai qui signifie "regarder, contempler"
D'après son étymologie, ce mot signifie donc " théâtre,<lieu> où l'on regarde 

Le théâtre désigne à la fois l'art de la représentation dramatique, un genre littéraire particulier  et le bâtiment dans lequel se déroulent les spectacles de théâtre.
Le théâtre est un genre littéraire très particulier. En effet, le théâtre est destiné à faire l'objet de représentations sur scène et devant un public. Dès l'écriture, il faut donc produire une œuvre qui pourra être dite, jouée et mise en scène. À cet égard, le mot "théâtre" est issu du grec "theatron" qui signifie « ce qui est donné à voir ». Ainsi, le texte d'une pièce de théâtre se compose non seulement des discours des différents personnages, mais aussi des didascalies, qui sont les indications relatives au ton, au rythme, aux costumes, aux décors ou à l'attitude des acteurs.


Le theatre grec vidéo


martes, 1 de marzo de 2016

Les Grandes Époques du Théâtre

Les Grandes Époques du Théâtre


Le théâtre est né au V siècle avant J.C. à Athènes, en raison que les citoyens ont cessé d’adorer leurs dieux et commencent à développer sa pensée, a raisonner et donc  la naissance de la philosophie cela a aidé la naissance de la démocratie.  D’autre coté le théâtre est conçu comme un moyen de communication par conséquence les citoyen étaient obligés à assister aux représentations de théâtre qui avaient lieu dans les grandes fêtes religieuses.  Les grecs créent la tragédie qui traitait des problèmes graves  et un des plus grands auteurs a été  Sophocle. D’autre part, la comédie est née la comédie pour rire les personnages connus.
En second lieu, on a vu le théâtre du moyen âge. Dans cette époque la pensé était dominée par la fois et non par le savoir. Le théâtre médiéval a été créé pour les occasions religieuses. La forme la plus spectaculaire de théâtre était le <<mystère>>  qui durait plusieurs jours et racontait depuis l´histoire d’Adam et Ève jusqu’au jugement dernier.
Puis au Japon le théâtre conservait quelques caractéristiques traditionnelles. A la fin du XIV siècle nait le <<no>> une forme de comédie chantée après au XII siècle nait le <<Kabuki>>  une forme de théâtre plus spectaculaire qui présentait les aventures des guerriers. Finalement, apparait le <<bunraku>> un théâtre avec des marionnettes.

En l’Angleterre se développe le théâtre élisabéthaine  grâce au pouvoir économique, l’Angleterre a beaucoup grandi dans tous les domaines et le théâtre est devenu très populaire, le rythme de l’action est rapide, il n’y a pas de décor, l’utilisation d’un langage poétique et l’amour prend un rôle principal. Shakespeare a été l’auteur le plus important de cette époque-là.  
Par autre côté, l’Espagne qui était le pays le plus puissant de l’Europe. Cette période surnommé le siècle d’or marqué pour une grande créativité qui lui a donné la vie a grandes œuvres comme Don Quichotte et le théâtre était très accepté par la société. Le genre plus populaire était la <<comedia>>  qui étaient des drames philosophiques et les vies de personnages célèbres.  

En France au XVIII siècle les artistes sont convaincus de la grandeur de son culture semblable à ce de la culture gréco-romaine. Pour s’assurer que les ouvres présentées seraient nobles les artistes éditaient les règles  par exemple l’utilisation de verses dans la comédie et la tragédie. Les    auteurs les plus importants étaient corneille et Racine (tragédie) et Molière (comédie) .

Dans le romantisme les règles classiques ont été laissées d’un côté et a valoriser <<l’inspiration>>  pas l’inspiration gréco-romain et on privilège les légendes populaires. Le théâtre souhaitait montrer  le fonctionnement du monde.


Apres de la guerre apparait un nouveau théâtre <<le théâtre de l’absurde>>.

lunes, 29 de febrero de 2016

Origines du théâtre: Le Théâtre Grec


Le théâtre grec

Les tragédies et comédies grecques, dont la représentation remonte aux vie et ve siècles avant J.-C., ont une origine religieuse, liée au culte de Dionysos. Le théâtre est donc dans son origine lié au sacré.
Ces représentations ont lieu lors de fêtes organisées par l'État. Deux fois par an, elles réunissent les citoyens autour d'un concours entre trois auteurs sélectionnés à l'avance. Pendant les trois jours de cérémonies, ceux-ci font représenter plusieurs pièces chacun. Ainsi le public assiste-t-il à une quinzaine de représentations, depuis le matin jusqu'au crépuscule. Cette manière de voir du théâtre est assez éloignée de celle qui est la nôtre aujourd'hui, à part à l'occasion de certains festivals.
Le lieu de ces représentations est un édifice à ciel ouvert, pouvant accueillir un public très nombreux, occupant les gradins. Face à lui se trouve la scène, au-dessus de laquelle un balcon peut voir apparaître les dieux. Il y a également une fosse d'orchestre, un espace circulaire dans lequel se trouve un autel dédié à Dionysos et réservé au chœur (par conséquent situé à la fois « avec » les acteurs, et séparé d'eux).
Le chœur est composé d'un certain nombre de choreutes, qui prennent en charge la partie lyrique du spectacle (le chant). Il était accompagné au départ d'un acteur (le protagoniste) puis on en ajouta deux autres : le deutéragoniste et le tritagoniste. Avec l'évolution du théâtre, la part lyrique a diminué, au profit du dialogue.
À l'époque, tous les rôles sont tenus par des hommes, portant des masques : le visage de l'acteur n'exprime donc pas une psychologie nuancée et les nuances de l'émotion passent par le ton et les gestes. Les acteurs portent des tuniques colorées, la couleur permettant d'aider les spectateurs à distinguer les différents rôles.
Les pièces grecques se composent d'un certain nombre de « moments » définis : un prologue, puis l'entrée du chœur (« parodos »), puis des épisodes coupés par des chants du chœur, enfin la sortie du chœur (« exodos »).
Eschyle, Sophocle, Euripide sont les auteurs tragiques les plus célèbres. Leurs œuvres sont non seulement reprises encore aujourd'hui, mais sont aussi des sources d'inspiration pour certains dramaturges contemporains. 

domingo, 28 de febrero de 2016

Les grands auteurs du Théâtre grec

Thespis : VI è siècle av. J-C. Poète tragique de L’Attique; n’a laissé aucune trace de ses œuvres. Il aurait introduit le premier, un acteur dans le chœur. Payé en nature (bouc ou chèvre), il était appelé tragikoï (par rapport au bouc qui se dit "tragos " en grec). Le terme tragédie est né de ce surnom.






Eschyle : 525 av. J.-C. - 456 av. J.-C.Auteur dramatique, il gagne son premier concours en 484. Sa réputation amène Hiéron, tyran de Syracuse et protecteur des arts, à l'inviter en Sicile, où il séjourne à deux reprises (472-468, 458-456). Des quelque quatre-vingts pièces qui lui sont attribuées, sept seulement nous sont parvenues dans leur totalité : Les Suppliantes (vers 490), Les Perses (472), Les Sept contre Thèbes (467), Prométhée enchaîné (entre 460 et 450) et la trilogie de L'Orestie (458), qui comprend Agamemnon, Les Choéphores et Les Euménides.



Sophocle : vers 495 av. J.-C. 406 av. J.-C. il est le plus grand dramaturge de la Grèce du Ve siècle. À trente ans, il participe pour la première fois à un concours dramatique et triomphe d’Eschyle. Plus de vingt fois, sans jamais obtenir moins qu'une deuxième place, il viendra à bout de ses concurrents, faisant représenter plus de cent vingt-trois tragédies, dont sept sont parvenues jusqu'à nous. Il donne ainsi au genre tragique sa forme définitive, en faisant passer le nombre d'acteurs de deux à trois et en remplaçant le principe de la trilogie liée (contant trois épisodes d'un même mythe) par celui de la trilogie libre (où les épisodes sont autonomes).

Euripide : 80 v. J.-C. -406 av. J.-C Auteur de plus de quatre-vingt-dix pièces, Euripide n'obtint de son vivant que quatre victoires au concours tragique. Il nous reste de cette œuvre dix-huit pièces complètes, parmi lesquelles: Alceste (438), Médée (431), Hippolyte (428), Hécube (v. 424), Héraclès (v. 418), Les Troyennes(415), Électre (v. 413), Hélène (412), Iphigénie en Tauride (v. 411), Ion (v. 410), Oreste (408), Les Bacchantes (405) et Iphigénie à Aulis (405).





Aristophane vers 445 - v. 386 av. J.-C Il composa une quarantaine de comédies, dont onze seulement nous sont parvenues complètes. Une partie de cette œuvre satirique et polémique s'inspire de l'actualité politique ou quotidienne pour fustiger les archontes (Les Babyloniens, 426), la démagogie du très puissant Cléon (Les Cavaliers, 424), les partisans de la guerre (Les Acharniens, La Paix,421 ;Lysistrata, 411), les sophistes (Les Nuées, 423), les tribunaux (Les Guêpes, 422). Mais si le chœur - déguisé, virevoltant, fournissant l'élément essentiel et permanent du comique - joue dans toutes ces pièces son rôle traditionnel, il perd de son importance à mesure que l'inspiration du poète se détourne de l'actualité pour aborder des thèmes plus généraux : ennemi de la nouveauté dans beaucoup de domaines, Aristophane se fait critique littéraire dans Les Thesmophories (411), dans Les Grenouilles (405), où il oppose Eschyle à Euripide. Il condamne les théories féministes des sophistes dans L'Assemblée des femmes (392), tandis que la veine utopique et fantaisiste triomphe dans Les Oiseaux (414) et Ploutos (388) Par la variété de ses thèmes, l'invention et la verve qu'il manifeste dans ses œuvres, la justesse de ses parodies et de ses allégories, Aristophane reste le plus grand poète comique grec : son style, toujours souple et élégant, n'exclut ni une violence parfois extrême du langage ni un lyrisme à la fois simple et puissant.